Le système nerveux est le centre de régulation et le réseau de communication pour les informations concernant l’ensemble de l’organisme. Il a 3 fonctions de base :
On va distinguer 2 grands systèmes :
Chacun de ces 2 systèmes possède des voies anatomiques qui lui sont propres, parfois elles se confondent. Le système nerveux somatique est un système de relation qui permet de communiquer avec l’extérieur : il est volontaire. Alors que le système nerveux autonome va traiter les informations relatives au fonctionnement de l’organisme : il est involontaire. Il a 2 moyens de fonctionner : le système sympathique et le système parasympathique. L’organisme est en perpétuelle recherche d’équilibre entre ces 2 systèmes pour commander les organes.
1) Le neurone
C’est une cellule hautement spécialisée dont le nombre est défini à la naissance. Par contre, un certain nombre de ces cellules n’a pas atteint sa maturité à la naissance et les neurones ne se reproduisent pas. Le neurone est l’unité structurale et fonctionnelle du système nerveux.
a) Le corps cellulaire
Centre vital de la cellule, il contient le noyau et les organites. Il est de dimension très variable (entre 5 et 120 μm) tout prolongement de ce corps cellulaire coupé régénère.
b) Les dendrites
Arborisation fine et courte qui se termine en ramification. C’est le lieu de réception de l’afflux nerveux puisque l’information va toujours du dendrite au corps cellulaire.
c) L’axone
Sa longueur est variable de quelques millimètres (dans l’encéphale) jusqu’à 1 m (dans la moelle épinière). L’axone emporte l’ordre moteur.
Particularités :
Le tissu nerveux est constitué d’une substance grise qui regroupe les corps cellulaires et les fibres amyéliniques, et d’une substance blanche qui est constituée des prolongements myélinisés.
d) Les différents neurones
Ils sont classés selon leur nombre de prolongements :
Quand le neurone a une fonction motrice, les dendrites sont courtes et l’axone est long. Alors que dans les neurones sensitifs, les dendrites sont plus longues.
2) Les cellules gliales
Ce sont des cellules de soutien et d’enveloppement du système nerveux central. Elles assurent les fonctions d’un tissu conjonctif (soutien, échange et nutrition). Il y a 4 types de cellules gliales :
a) Les astrocytes : ont un rôle de nutrition et possèdent de nombreux dendrites qui partent dans tous les sens. Ils envoient des prolongements vers les vaisseaux sanguins afin de permettre les échanges.
b) Les oligodentrocytes : on les trouve dans le système nerveux central. Ils fabriquent la myéline et sont animées d’un mouvement rythmique.
c) Les microgliocytes : ce sont les macrophages du tissu nerveux, elles vont détruire les déchets. Ils vont se déplacer selon leurs besoins pour se rendre là où les débris cellulaires sont à éliminer.
d) Les épendymocytes : cellules épithéliales qui vont former le revêtement des ventricules cérébraux et du canal de l’épendyme.
1) Physiologie de la synapse
Les neurones assurent les fonctions essentielles de réception et de transmission d’une information d’un point de l’organisme à un autre sous forme d’influx nerveux. Dans l’organisme, on a plus de 10 milliards de neurones, et au niveau d’une synapse on distingue un bouton pré-synaptique, une fente synaptique et un bouton post-synaptique (pour une synapse inter-neurone). On peut classer les synapses selon de nombreux critères :
a) Sa localisation
Si la synapse se fait sur un dendrite, on l’appellera axo-dendrite. Si elle se fait sur le corps cellulaire, on l’appellera axo-somatique. Et si elle se fait sur un axone, on l’appellera axo-axonique.
Les neurones sont couverts de milliers de boutons synaptiques, donc un neurone peut faire synapse avec des milliers d’autres neurones (on parle de neurone divergent) ; de même que plusieurs neurones peuvent faire synapse avec un seul neurone (neurone convergent).
b) Sa fonction
Il existe des synapses excitatrices qui sont le plus souvent axo-dendritiques, et des synapses inhibitrice qui sont le plus souvent
soit axo-axoniques, soit axo-somatiques. La transmission d’influx nerveux se fait au moyen de substances chimiques qu’on appelle neurotransmetteur, neuromédiateur ou médiateur chimique.
c) Son neurotransmetteur
Peut avoir un effet excitateur ou inhibiteur sur la synapse. Ce neurotransmetteur est toujours identique pour la même synapse. On les regroupe généralement sous le terme de catécholamines : acétycholine, adrénaline, noradrénaline, dopamine, sérotonine et gaba. Une fois qu’ils ont entraîné la transmission de l’influx nerveux, ils sont inactivés par un système enzymatique qui leur est spécifique. On peut jouer sur les neuromédiateurs grâce à la pharmacopée et on peut jouer sur sa synthèse, son stockage et sa destruction. Il y a d’autres classes de neurotransmetteurs : les amphétamines (augmentation de l’éveil), les neuroleptiques (sédation) et LSD (hallucinogène).
d) Une synapse excitatrice
Dans le bouton pré-synaptique, les vésicules de neurotransmetteurs vont libérer les produits dès l’arrivée d’un potentiel d’action dans la fente synaptique. Ce neurotransmetteur va se fixer sur des récepteurs spécifiques sur la membrane du bouton post-synaptique. Ce phénomène va entraîner une dépolarisation de la membrane et propager l’influx nerveux sur le neurone auquel elle appartient. Le neurone est donc une cellule excitable.
e) Une synapse inhibitrice
L’arrivée du neurotransmetteur sur la membrane post-synaptique n’entraîne plus de dépolarisation mais, au contraire, va renforcer la polarisation membranaire. Le neurone est ainsi moins excitable. Le neurone possède un seuil d’excitation qui est fonction de son rôle et qui nécessite en général l’excitation de plusieurs boutons pré-synaptique pour être dépolarisé.
2) Phénomène électrique de propagation de l’influx nerveux
→ Le diamètre des fibres nerveuses : plus le diamètre est important, plus la vitesse est rapide.
→ La présence ou non de myéline : la myéline est une gaine isolante. La dépolarisation ne peut se faire qu’au niveau des noeuds de ranvier. Cette progression par saut d’un noeud à l’autre est dite saltatoire (ex : myélinisé = 120m/s alors que non myélinisé = 1m/s)
→ La température : le froid diminue la vitesse de conduction.
Un neurone ne peut conduire qu’un seul influx nerveux à la fois, et pendant la propagation de cet influx, il devient inexcitable. L’influx nerveux chemine toujours dans le même sens : des dendrites vers l’axone en passant par le corps cellulaire.
La dépolarisation est le résultat de l’excitation de plusieurs boutons pré-synaptique, l’augmentation du nombre de boutons excités s’appelle la sommation spatiale, alors que l’augmentation de la fréquence des décharges des influx nerveux par un seul neurone s’appelle sommation temporelle.
1) La structure d’un nerf
Dans un nerf périphérique, on trouve des fibres myélinisées et amyéliniques et un système de cloisonnement. Chaque axone est entouré d’une enveloppe appelée endonèvre. Un certain nombre d’axones sont regroupés en faisceau et chaque faisceau est enveloppé par le périnèvre. Tous les faisceaux qui composent le nerf sont entourés d’une enveloppe, l’épinèvre.
Un nerf périphérique est toujours mixte, c’est à dire qu’il contient des neurones moteurs et des neurones sensitifs. S’il y a une atteinte de la sensibilité totale, on parle d’anesthésie, alors que si l’atteinte est partielle, on parle d’hypoesthésie. Au niveau moteur, si l’atteinte est totale, on parle de paralysie alors qu’on parle de parésie si elle est partielle.
2) Physiologie du nerf
Il y a plusieurs types de lésions du nerf :
1) Anatomie
C’est une structure qui assure la jonction entre l’encéphale et le nerf périphérique. Elle se présente comme un long cordon blanc d’environ 45 cm de long et de 1 à 2 cm de diamètre. Cette moelle épinière est à l’intérieur de la colonne vertébrale, dans un canal appelé canal rachidien. Ce canal rachidien est constitué du corps vertébral en avant, des pédicules latéralement, des lames et de l’épineuse en arrière. La moelle épinière va du trou occipital au bord inférieur de la 2e vertèbre lombaire (L2), c’est à dire qu’en dessous de L2, il n’y plus de moelle épinière, mais elle est accrochée au coccyx par un cordon fibreux : le filum terminal. La moelle épinière va donner naissance à 31 pairs de nerfs rachidiens (nerfs périphériques) qui se subdivisent en 8 nerfs cervicaux, 12 nerfs dorsaux, 5 nerfs lombaires, 5 nerfs sacrés et un nerf coccygien. Ces nerfs rachidiens sortent de la colonne vertébrale par un orifice appelé trou de conjugaison qui est délimité par la partie inférieure de pédicule de la vertèbre de dessus et par la partie supérieure du pédicule de la vertèbre du dessous. L’orientation des nerfs rachidiens est horizontale pour la moelle cervicale, légèrement oblique pour la moelle dorsale et franchement verticale pour la moelle lombaire, où ils sont ramassés en un faisceau, qu’on appelle queue de cheval.
Le nerf rachidien naît de la moelle épinière par deux racines : une racine postérieure où l’on trouve le ganglion rachidien et une racine antérieure (motrice). Les 2 racines se rejoignent avant la sortie du canal rachidien pour donner un nerf périphérique mixte. Le nerf rachidien une fois sortie du canal se divise à nouveau en deux branches mixtes : une branche antérieure innervera la partie antérieure du tronc et les membres en fonction du niveau de l’étage considéré et une branche postérieure innervera la partie postérieure du tronc.
→ de C1 à C4 : muscle du cou et du diaphragme
→ de C5 à C8 : muscles des membres supérieurs
→ de D1 à D12 : tronc
→ à partir de L1 : membres inférieurs.
La moelle épinière présente une partie centrale en forme de H, composé de substance grise qui se divise pour chaque hémi-moelle en 2 cornes : antérieure et postérieure.
Au centre de cette substance grise le canal de l’épendyme permet l’écoulement du liquide céphalo-rachidien(LCR).
Autour de cette substance grise, on trouve la substance blanche subdivisée en cordon. Chaque hémi-moelle est séparée de l’autre par un sillon postérieur et par un sillon antérieur (+ large).
La moelle et ses racines sont protégées jusqu’au trou de conjugaison par des enveloppes qu’on appelle les méninges. Au nombre de 3, de la superficie vers la profondeur, on va trouver :
→ la dure-mère
→ l’arachnoïde
→ la pie-mère
2) Physiologie médullaire
a) Moelle épinière = centre réflexe.
Réflexe : réponse motrice involontaire à une stimulation de nature sensitive.
b) Moelle épinière = réseau de conduction nerveuse
On va trouver dans la moelle épinière des voies de conduction ascendantes (vers le cerveau) et des voies descendantes (vers les organes effecteurs). Tous ces axones ascendants et descendants se trouvent dans la substance blanche de la moelle épinière.
→ du tact fin
→ du tact grossier
→ de la sensibilité thermique
→ de la sensibilité algésique (douleur)
→ de la sensibilité proprioceptive consciente et inconsciente
→ système de motricité volontaire qu’on appelle le système pyramidal : les fibres motrices de ce système sont regroupées en un faisceau appelé pyramidale. Ces fibres naissent dans un hémisphère cérébral au niveau d’une zone du lobe frontal appelée circonvolution frontale ascendante. Les neurones descendent verticalement jusqu’au bulbe rachidien. A ce niveau une décussation dite bulbaire fait que 9/10 des fibres du faisceau croisent la ligne médiane et forme le faisceau pyramidal croisé. Le dixième restant reste du même coté, chemine dans la moelle épinière au niveau du cordon antérieur : c’est le faisceau pyramidal direct ; ces fibres croisent la ligne médiane à chaque étage médullaire et retrouveront alors le contingent du faisceau pyramidal croisé et feront synapses avec les neurones moteurs. Donc, l’innervation motrice d’un coté du corps est gérée par l’hémisphère cérébral opposé. Le système pyramidal exerce une activité modératrice constante sur l’activité de la boucle γ (si interruption de la voie pyramidale, la boucle γ n’est plus sous contrôle et engendre une activité musculaire involontaire : hypertonie pyramidale).
→ système de motricité involontaire (automatique) : système extra-pyramidal. Ces voies de la motricité automatique involontaire sont très complexes. Elles mettent en relation différentes structures anatomiques : le tronc cérébral, les noyaux gris centraux et une partie du cortex. Elles aboutissent finalement au même neurone moteur que ceux activés par la voie pyramidale.
1) Description
Il es logé dans la boite crânienne et est constitué de 3 éléments principaux qui sont, de haut en bas :
Il pèse chez l’homme 1kg350 et 1kg250 chez la femme.
2) Les méninges
− La première expansion est sagittal, elle sépare les 2 hémisphères cérébraux : c’est la faux du cerveau
− La deuxième expansion est horizontale, elle sépare les hémisphères du cervelet : c’est la tente.
− La 3e expansion est sagittale et elle sépare les hémisphères cérébelleux : c’est la faux du cervelet.
− La 4e expansion est horizontale et elle maintient et protège la glande hypophyse dans la selle turcique : c’est la tente de l’hypophyse.
3) Le liquide céphalo-rachidien (LCR)
C’est un liquide baignant l’axe cérébro-spinal contenu dans le tissu arachnoïdien et dans le canal de l’épendyme. Il circule autour de l’encéphale, de la moelle épinière et dans les ventricules cérébraux. Les ventricules cérébraux sont des cavités qui communiquent entre elles ainsi qu’avec le canal de l’épendyme et le tissu arachnoïdien. Il existe 4 ventricules :
− VI et VII sont latéraux et situés dans les hémisphères
− VIII est situé dans le thalamus
⇒ Ils communiquent entre eux par un orifice étroit : le trou de Monroe.
− VIV est entre le tronc cérébral en avant et le cervelet en arrière. Il communique avec le 3e ventricule par un canal qui traverse le mésencéphale et qu’on appelle l’aqueduc de Sylvius. Il présente 3 orifices : trou de Luschka et de Magendie permettent au LCR de passer dans les espaces arachnoïdiens de la moelle épinière et de l’encéphale.
a) Composition
C’est un liquide transparent, légèrement jaunâtre. Il y a en permanence 80 à 150 mL de LCR et il est renouvelé 3 à 4 fois par jour. Il contient :
Il ne contient aucun élément figuré du sang.
b) Circulation
Ce LCR est sécrété par les plexus choroïdiens qui sont situés au niveau du toit des ventricules cérébraux. Ces plexus sont très richement vascularisé. Ils laissent filtrer du plasma (qui est un exultant du sang) et c’est cet exultant qui va devenir le LCR. La membrane de ces plexus est une barrière sélective et elle constitue la barrière hémato-méningée.
Le LCR va cheminer le long de l’axe cérébro-spinal :
S’il y a un obstacle à l’écoulement du LCR chez l’enfant, on parle d’hydrocéphalie, alors que chez l’adulte, on parle d’hypertension intracrânienne.
c) Ses rôles
4) Le tronc cérébral
Il est formé de haut en bas par :
a) Anatomie
On trouve ans le tronc cérébral des noyaux qui sont des amas de substances grises et il en existe 2 types :
I. Nerf olfactif odorat
II. Nerf optique vue
III. Nerf moteur oculaire commun mouvement de l’oeil
IV. Nerf pathétique humidification de l’oeil
V. Nerf trijumeau face
VI. Nerf moteur oculaire externe
VII. Nerf facial face
VIII. Nerf auditif ouïe
IX. Nerf glosso-pharyngien déglutition
X. Nerf pneumogastrique SN autonome
XI. Nerf spinal muscles de la face
XII. Nerf grand hypoglosse langue
Il existe une bande de tissu nerveux qui recouvre les 3 étages du tronc cérébral et qu’on appelle la formation réticulée.
On trouve également dans ce tronc cérébral des voies de conduction ascendantes et descendantes qui vont unir les voies sus-jacentes avec les voies médullaires.
b) Physiologie
Le tronc cérébral a 2 fonctions principales :
5) Le cervelet
Il est situé en arrière de la protubérance annulaire et du bulbe rachidien. Il est composé de 2 hémisphères, qu’on appelle les hémisphères cérébelleux, réunis par une structure médiane : le vermig. Il comprend 3 zones :
6) Le cerveau
a) La morphologie externe
Les cerveau est composé de 2 grosses masses : les hémisphères, réunis entre eux par des structures anatomiques médianes. La
surface des hémisphères est irrégulière et il existe des sillons qui partagent ces hémisphères en lobes. Chaque lobe présente des sillons qui le divisent en circonvolution.
b) La morphologie interne
Dans la partie centrale du cerveau (zone de jonction des 2 hémisphères) on trouve :
c) Les lobes
On trouve aussi différents centres :
⇒ La zone oculo-céphalogyre : zone qui va combiner le mouvement des yeux avec le mouvement de la tête.
⇒ Centre moteur du langage : aire de BROCA qui déborde un peu sur les lobes temporal et pariétal. Elle se situe dans l’hémisphère dominant (gauche pour un droitier et inversement)
⇒ Le cortex pré-frontal : c’est la zone du psychisme de l’individu. On va y trouver la personnalité, le jugement, l’émotion et la mémoire.
− L’aire somésthésique : aire de la sensibilité pure (toucher et goût par exemple).
− L’aire somato-psychique : permet l’intégration des données enregistrées par l’aire somésthésique
− L’aire tacto-gnostique : permet la reconnaissance par le toucher.
Dans ce lobe pariétal, on trouve une aire qui correspond à l’aspect symbolique du langage (aire de Vernicke). Le lobe pariétal participe à l’élaboration et à la coordination du mouvement volontaire.
− Une aire de réception de informations brutes (aire visuelle primaire).
− Une aire psycho-visuelle.
7) Le système nerveux végétatif (autonome)
a) Les fonctions
Il règle et coordonne les fonctions internes, contrôle les viscères et les organes, ainsi que les fibres musculaires lisses et les différentes glandes de l’organisme.
b) Les caractéristiques
Il ne crée pas une activité organique, il ne fait que modifier cette activité. Son fonctionnement est involontaire. Il comprend 2 systèmes :
Ces deux systèmes ont des distributions anatomiques différentes, des neurotransmetteurs différents et ils ont des rôles souvent antagonistes mais toujours complémentaires.
c) L’anatomie
− Le système sympathique : dans ce système, les voies motrices sont organisés par une succession de 2 neurones. Le 1er naît dans la corne antérieure de la ME et ne concerne que l’étage de D1 à L3. Ce neurone emprunte le nerf rachidien, fait synapse dans un des ganglions de la chaîne sympathique para-vertébrale avec le 2e neurone qui va gagner la périphérie, c’est à dire la peau. Pour les nerfs sympathiques à destination des organes, le 1er neurone part de la corne antérieure de la ME, traverse la chaîne ganglionnaire sympathique et va faire synapse dans un ganglion à proximité de l’organe auquel il est destiné.
D1 à D4 : zone thoracique et coeur
D5 à D12 : zone digestive
L1 à L3 : petit bassin
− Le système parasympathique : il y a aussi 2 neurones. Le 1er neurone fait synapse dans un ganglion proche de l’organe auquel il est destiné. On trouve les neurones parasympathique au niveau du tronc cérébral et de la moelle sacrée.
TC : oeil, glandes lacrymales, salivation, coeur, poumons, estomac et système digestif
Neurone d’origine sacrée : système digestif et vessie.
− La 1ère synapse : ε ou Pε = acétylcholine
− La 2ème synapse : Pε = acétylcholine et ε = noradrénaline
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